La fausse teigne est une mite qui se nourrit de cire ; elle comprend deux espèces : la petite teigne ressemble à la mite de la laine et la fausse teigne dont la taille est double de la première ;
Les souris, les mulots et les musaraignes :
Ils s’introduisent dans les ruches en hiver. Ils rongent les rayons et s’y logent et dérangent les abeilles.
Remède : ramener la hauteur du trou de vol à la hauteur de 7 mm, au moyen d’une bande galvanisée découpée en forme de peigne.
Le Pic vert est un grand ennemi des ruches dans certaines régions. Il perce les parois de ruches pour s’y introduire et dévorer le miel et les abeilles.
Remède : pour l’écarter, on enveloppe les ruches de grillage métallique.
Les fourmis ne se contentent pas toujours d’élire domicile dans une partie de la ruche pour être au chaud. Parfois certaines espèces s’attaquent aux abeilles et à leur provision.
Remède : une petite quantité de souffre suffit pour les écarter dans le cas où elles ne sont pas trop nombreuses ou placer la ruche sur des pièges gluants.
Le pou des abeilles est un petit diptère sans danger mais gênant qui s’agrippe aux abeilles et à la reine. Remède : pour les chasser, on allume son enfumoir bourré de tabac fort. Quelques bouffées de fumée envoyées dans la ruche, font lâcher prise au pou qui tombe sur le plateau où l’apiculteur se dépêche de les ramasser et de les détruire.
La guêpe omnivore, dont il existe 9O espèces attaque seule et en groupe les ruches et tue les abeilles dont elles mangent les intestins. Son pillage dans les ruches n’est pas le seul inconvénient, car les guêpes transportent des maladies contagieuses des abeilles.
Remède : détruire les nids de guêpes.
Le sphinx tête de mort est un papillon friand de miel. Il entre vite dans la ruche et consomme près d’une cuillère à soupe de miel.
Remède : les trous de vols qui n’ont pas plus de 8 mm de hauteur l’empêchent de pénétrer dans la ruche.